Rachel Khan, juriste, actrice, scénariste et écrivain, Prix national de la Laïcité 2021. 10 septembre 2022
[Les éléments de la revue de presse sont sélectionnés à titre informatif et ne reflètent pas nécessairement la position du Comité Laïcité République.]
"[...] Aujourd’hui, en faisant l’impasse sur le « beau », le monde de la culture menace de succomber aux diktats de deux camps idéologiques qui s’affrontent. D’un côté, les « victimologistes », « victimophiles » et autres déconstructeurs de ce « beau » qui ne peut être que le fruit des « imaginaires impérialistes ». De l’autre, ceux qui combattent obsessionnellement (et de manière un tantinet limitée) les wokes et qui oublient de se servir de l’art comme d’un allié, d’accompagner la diversité des expressions culturelles pour mener leur combat en profondeur. [...]"
Lire "Rachel Khan : "Le monde de la culture menace de succomber aux diktats de deux camps idéologiques"".
Voir aussi dans la Revue de presse "Un concert de reggae annulé pour des dreadlocks, la Suisse débat de l’appropriation culturelle" (huffingtonpost.fr , 1er août 22), "Des musiciens blancs portent des dreadlocks, leur concert est stoppé" (20min.ch , 26 juil. 22), "Un humoriste exclu de deux spectacles à cause de ses « dreadlocks »" (ledevoir.com , 16 jan. 19), Avec ses dreadlocks, la ministre suédoise de la Culture est accusée d’"appropriation culturelle" (lemonde.fr , 8 fév. 19) dans la rubrique "Appropriation culturelle" dans Liberté d’expression : culture (note du CLR).
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